vendredi 29 février 2008

« Happy JAM SESSION »











Mercredi 5 mars 2008
A 21h
Au PETIT FAUCHEUX
12 rue Léonard de Vinci – 37000 Tours

Entrée libre

L’occasion de découvrir des musiciens et de se rencontrer.
Un bœuf qui se déroule dans les meilleures conditions : une section rythmique, un encadrement assuré par Antoine POLIN, des micros, les amplis, des lumières, et un piano à queue !
Une soirée gratuite et ouverte à tous…


DES BŒUFS OUVERTS A TOUS « Pour JOUER et SE FAIRE PLAISIR »
Les Bœufs de Jazz à Tours sont ouverts à toutes les musiques et à tous les musiciens : musiciens, amateurs, professionnels, de Jazz à Tours ou de l’extérieur.
L’ambiance est détendue et conviviale.
Les mots d’ordre sont « jouer », « dialoguer », « rencontrer » et surtout « se faire plaisir » !

DEROULEMENT : Vous pouvez amener les morceaux que vous voulez jouer (en plusieurs exemplaires si possible). Sinon des Real Book et des partitions sont en accès libre sur place. Antoine Polin, professeur à Jazz à Tours, assure l’organisation de ces Jams Sessions : une section rythmique sera présente toutes les semaines afin d’assurer des bases solides et Antoine Polin sera disponible pour répondre aux demandes et apporter un avis extérieur.
Autre confort : tout le matériel (amplis, batterie, pupitres, micros et retour..) sera sur place.

RENSEIGNEMENTS :
JAZZ A TOURS – 8 rue Jules Simon 37000 TOURS
Tel : 02.47.66.55.97
e-mail : info@jazzatours.com

Appel à soutien

Vers le démantèlement de la diversité artistique
et culturelle en Région Centre ?


LES FAITS

* L’avènement et la banalisation manifeste d’un discours fondé sur la libre concurrence dite « nécessaire » entre secteur marchand et action publique
En ce début d'année, les derniers échanges avec la Direction Régionale des Affaires Culturelles font plus que conforter la version selon laquelle l’Etat se désengagerait totalement du soutien qu'il apportait jusqu'alors à un panel d'acteurs de l'action culturelle. Les plus touchées sont les associations artistiques et culturelles, compagnies, salles de spectacles, les festivals, lieux de diffusion alternatifs et espaces de création.

* Une politique budgétaire qui tend à séparer la création, la diffusion, l’éducation artistique et l’action culturelle
Ce désengagement, bien que portant sur des montants relativement modestes pour l’Etat : de 5 à 20 000 € par structure, met en péril des structures et des emplois. Il a pour conséquence immédiate une réduction drastique des activités à destination des publics. Il n’a été précédé d’aucune concertation ni annonce. Aucune proposition d'évolution graduelle n'a été proposée à ce jour aux structures concernées dont, les bilans d'activités et l'intérêt général des actions n'ont pas été remis en cause.

* Toute forme de désengagement a des conséquences sur les politiques locales
Cette évolution brutale de ces aides publiques va avoir pour conséquence de transformer profondément le paysage culturel de notre région. Elle remet en cause un maillage territorial qui garantissait une diffusion plurielle, la rencontre des œuvres avec un public large et diversifié, la pluralité de la production, la sensibilisation et la formation des publics.


QU’EST-CE QUE L’ACTION CULTURELLE EN REGION CENTRE ?

Aujourd’hui, l'avènement du multimédia sur Internet, l’omniprésence de la télévision dans le quotidien et l'utilisation massive d'outils numériques transforment en profondeur les pratiques culturelles. Ceci induit de nouveaux types de relations entre artistes, diffuseurs, producteurs et spectateurs. Nos structures jouent un rôle prépondérant : à la croisée de ces évolutions, elles travaillent quotidiennement à la construction de clefs de lecture et réalisent un travail charnière de pédagogie, de médiation en utilisant des cadres d'action perpétuellement réinventés dans les écoles, les hôpitaux, les prisons et, bien sûr, tout au long de l’année dans nos quartiers :

Par exemple, et sans exhaustivité :

- Les résidences de création, ateliers cinéma
- La diffusion non commerciale de films auprès des médiathèques, établissements scolaires, centres socio-culturels
- Les salles de cinémas de proximité, à programmation diversifiée Art et essai.
- Les Espaces Culture Multimédia
- Les soirées de « La Mariée Désirante » (projections à la Scène Nationale d’Orléans)
- Le Festival Extensions (Tours)
- Le Festival Quartier documentaire (Orléans)
- Le Festival BanditsMages (Bourges)
- Le village numérique

Bien que les enjeux soient importants pour la diversité culturelle, les collectivités territoriales ne pourront pallier l'arrêt de ces financements. Or les structures concernées sont parmi les plus fragiles. Par leur taille, d’abord, mais aussi car celles-ci n’ont pas la même visibilité auprès du grand public qu’un cinéma ou un théâtre par exemple. Il est plus facile de s’attaquer aux petites associations ou compagnies qu’à celles qui ont pignon sur rue. De plus, il faut savoir que chaque opération, même ponctuelle, demande un long travail souterrain, souvent mené par des bénévoles. Et sans appui financier pour couvrir les dépenses de fonctionnement, aucun projet ne peut aboutir.

Dans sa lettre de mission à la Ministre de la Culture du 01/08/2007, le Président de la République demande de « veiller à ce que les aides publiques favorisent une offre répondant aux attentes du public ». Or qui peut répondre efficacement à cette demande sinon ces petites structures, dont l’existence assure à la fois diversité de l’offre et proximité géographique ?


ET DEMAIN ?

Les baisses de subvention ciblent aujourd’hui le multimédia, le cinéma et l’audiovisuel et le spectacle vivant, mais concernera certainement demain tous les secteurs artistiques et culturels sous différentes formes.
Par exemple : suppression de l’aide à la production réservée aux artistes plasticiens de la région Centre. La licence d'entrepreneur de spectacles qui est désormais obligatoire pour tout responsable de structure associative ou commerciale dont l'activité habituelle est la production de spectacles…

Quel choix aura le public lorsqu’il n’existera plus que les grandes institutions (musées, cinéma multiplexes, théâtres nationaux). Lesquels proposeront une palette plus réduite puisqu’il n’y aura plus autant de partenariats et de rencontres comme aujourd’hui avec les acteurs locaux actuels ?

C'est pourquoi nous souhaitons alerter l'opinion publique en amenant des éléments d'information aux élus, médias et réseaux d'acteurs sur le bien-fondé de nos actions et en favorisant l'ouverture d'un dialogue avec les pouvoirs publics sur la base d'une évaluation qualitative et quantitative des politiques publiques dans le domaine de la culture en région Centre.

Nous invitons également toute personne ou structure qui se reconnaît dans ces enjeux à manifester son soutien en envoyant un courrier à infos@crac-centre.org ou en signant cette pétition sur www.crac-centre.org/petition


Le collectif au 28 février : Bandits-Mages (18-Bourges), Labomédia (45-Orléans), Barnabé (45-Orléans), Cents Soleils (45-Orléans), Sans Canal Fixe (37-Tours), Contre-Feux (37-Tours)


Pour en savoir plus, l'article dans Libération du 29 février : Dossier Culture

samedi 16 février 2008

« FEEDBACK » à Blois









Vendredi 29 février
Jusqu’au dimanche 4 mai
Vernissage le jeudi 28 février à partir de 18h

EXPOSITION
« FEEDBACK »
de Cécile Le Talec
Cette exposition présente un ensemble d’œuvres récentes (2003/2007) : sculptures, objets, photographies, vidéos et installations sonores qui ont été réalisées en regard, en écho, avec et autour de la langue sifflée...
NB : Exposition ouverte au public du vendredi au dimanche de 13h30 à 18h30.
Pavillon du Musée de l’Objet
Entrée libre
Rens : 02.54.55.37.45

Yveline Bouquard à St Pierre des Corps

Yveline Bouquard
Peintures

Vernissage
Vendredi 22 février
à 18 heures

EXPOSITION
Du samedi 23 février
au samedi 21 mars 2008

Galerie d’ExpoS
Passage Emmanuel-Chabrier
37 Saint-Pierre-des-Corps

Dans le cadre de la 9e édition du festival Bruissement d'Elles.

SEMAINE PARCOURS 12 : AUTOPORTRAITS – DU 4 AU 8 MARS 2008

MARDI 4 MARS

19H : Prologue « C’est à dire !? » Recherche Jean-Paul Rathier/Cie Script (gratuit)

21H : « C’est à dire !? » Séquence 1 « Risquer une définition de l’acte de création » Recherche Rathier / Cie Script (3€/6€)



MERCREDI 5 MARS

19H : « C’est à dire !? » Séquence 2 « Questionner le sujet de l’écriture dans le théâtre contemporain » Recherche Rathier / Cie Script (3€/6€)

21H : UNE PHRASE POUR MA MÈRE Christian Prigent– Cie Labyrinthes



JEUDI 6 MARS

19H : « C’est à dire !? » Séquence 3 « Expérimenter la scène avec les spectateurs » Recherche Rathier / Cie Script (3€/6€)

21H : UNE PHRASE POUR MA MÈRE Christian Prigent– Cie Labyrinthes



VENDREDI 7 MARS

19H : « C’est à dire !? » Séquence 4 « Dire le projet d’un théâtre-forum » Recherche Rathier / Cie Script (3€/6€)

21H : LE TEMPS D’UN SOUPIR Anne-Marie Philipe



SAMEDI 8 MARS

17H : « C’est à dire !? »: Accordage des 4 séquences - Jean-Paul Rathier / Cie Script (3€/6€)

21H : LE TEMPS D’UN SOUPIR Anne-Marie Philipe





***C’EST À DIRE !? – Résidence de recherche Jean-Paul Rathier

C’est à dire !? (exclamatif et interrogatif à la fois) est le postulat d’une recherche théâtrale sur le monologue et l’autoportrait.

Entre documentaire et fiction, le metteur en scène Jean-Paul Rathier s’est engagé à expérimenter un laboratoire de la parole. Sa recherche se conclura par un spectacle-forum alternant performances théâtrales, musicales, chorégraphiques et plastiques au regard de témoignages d’hommes et de femmes qui s’interrogent sur ce que parler veut dire.

Entre le dire du poète, le geste de l’artiste et nos pratiques de la parole dans l’espace social, le théâtre doit se risquer à provoquer de nouvelles confrontations…

Rendez-vous tous les soirs du mardi 4 au samedi 8 mars pour différentes étapes de recherche– réservations au 02 47 38 29 29



****UNE PHRASE POUR MA MÈRE Christian Prigent– Cie Labyrinthes

Un monologue hallucinant qui jaillit pendant une heure et quart en un flot rapide et ininterrompu des lèvres de Jean-Marc Bourg. Des mots par milliers rassemblés en une immense phrase que débiterait un homme névrosé en parlant de son rapport à sa mère.

« Hallucinant monologue de Christian Prigent dit par Jean-Marc Bourg. Pour le comédien, donner rythme à cette logorrhée relève de la prouesse. »

Pierre Daume, Libération.

MERCREDI 5 et JEUDI 6 MARS - 21H

au PLESSIS, théâtres tarifs 8€ (adh, PCE), 12€, 16€ – réservations au 02 47 38 29 29



***LE TEMPS D’UN SOUPIR Anne-Marie Philipe

En 1964, cinq ans après la mort de Gérard Philipe, Anne Philipe écrit 'Le Temps d'un soupir', une lettre ouverte à l'absent. Aujourd'hui, Anne-Marie Philipe réunit son père et sa mère par la seule grâce des mots.



« (…) Il y a dans le récit d’Anne Philipe où le nom de l’acteur n’est jamais prononcé, une hauteur d’âme, une réserve, une simplicité qui touche le cœur (…). Anne-Marie Philipe lit les phrases de sa mère sur la mort de son père, posément. Presque mezza voce.

Elle capte et transmet les vibrations comme un saphir posé sur le sillon du disque.

Une voix s’élève, profonde, un peu voilée, déchirante, ni tout à fait la sienne ni tout à fait une autre, faite en réalité de deux voix conjuguées, la mère et la fille.

C’est un moment rare et le public en est conscient, son recueillement le prouve. »

Jacques Nerson, Le Nouvel Observateur.

VENDREDI 7 et SAMEDI 8 MARS – 21h

au PLESSIS, théâtres - 8€ (adh, PCE), 12€, 16€ – réservations au 02 47 38 29 29



RENSEIGNEMENTS PRATIQUES

LES TARIFS :

C’est à dire !? Prologue : gratuit

C’est à dire !? Séquences / accordage : 3€ / 6€

Le Temps d’un soupir / Une phrase pour ma mère : 8€ (adh, PCE), 12€ (TR), 16€

Abonnement pour la semaine : 42€ (séquences C’est à dire !?+ Le Temps d’un soupir + Une Phrase pour ma mère)

Restauration sur place avant et après les représentations



RÉSERVATIONS ET RENSEIGNEMENTS

02 47 38 29 29

LE PLESSIS, théâtres – Château de Plessis-lès-Tours – Rue du Plessis – 37520 LA RICHE

La Librairie Le Livre à Tours

vous invite Vendredi 29 février à 20 heures
à une rencontre/lecture
avec Dominique Meens
à l’occasion de la parution aux éditions P.O.L
de Aujourd’hui demain

[…] eux toujours venus du nord, par treize et vingt-quatre et cinq dont un qui se soulève, quitte le groupe, plonge vers le rivage, et se pose, flotte, flotte, flotte, et, soulevé par un mouvement plus fort de la houle, entrouvre les ailes puis les replis promptement comme du linge une fois la vague passée, flotte se décide, démarre, cinq ou six grands coups d’ailes et les pieds qui pataugent pour aider, il plane sur l’eau à la toucher, rejoint le fil doucement bougé que Matisse Andreas Gomez n’a pas remarqué mais l’oiseau bien sûr que lui attendait d’où qu’il flottait, avait patienté tant que l’une de ces colonnes qui ne longeait pas la plage mais coupaient au travers de l’eau venues du nord-ouest, de la pointe qu’on voyait là-bas quand la brume était moins dense, avait flotté tant qu’elle passe à portée de vol. Il y aurait eu ceux qui longeaient la côte et ses découpes, appuyés sur le courant d’air venu du sol ; et ceux qui dès la pointe se décidaient au plus court et se laissaient glisser vers l’eau, s’appuyant sur quoi ? sur la réponse du pacifique au vent ? sur la mince couche d’air dont on dit qu’elle fait des miracles ? Les voilà qui montent l’un après l’autre, douze, huit, treize, et deux lignes qui s’unissent là-haut, quarante mètres, forment un V inégal, et dérivent au dessus des salines, disparaissent.


Aujourd’hui demain P.O.L 2007 suit Aujourd’hui je dors P.O.L 2003 en attendant, Aujourd’hui ou jamais.
Puisque aujourd’hui dort, demain fait le boulot : voyager, rêver, mourir, avec de l’amour toujours tout autour.
L’auteur convoque à ces fins quelques doubles. Réel : Matisse Andreas Gomez, un auteur sud-américain, pour le voyage ; fantasmatique : Ulysse, pour le rêve ; idéal : Nerval, pour un Tombeau.
Le voyage découvre l’amour, le rêve montre ce qui l’empêche et le Tombeau où il conduit. Rien qu’on ne sût déjà mais qu’il est intéressant, agréable et amusant de vérifier.
Quant à la forme : un roman, une sotie, un tombeau, réunis.

Dominique Meens : «Les bouquins, ça doit servir à ça : mettre en cause le langage et les formules toutes faites»

De la part du Volapük à Tours

Venez participer au dernier petit-déjeuner
oui, vous entendez bien le dernier petit-déjeuner du volapük
Mardi 4 mars 2008 dès 9h

Vous pouvez nous retrouver jusqu'à cette date tous les mardis matins pour partager un croissant, un café ou une discussion...
Ensuite, nous inventerons d'autres moments pour vous retrouver...
et l'un d'eux est la présentation par Théâtre à cru de :


Et nous n'y serons pas pour rien !
duo - d'après le spectacle "Je suis..."

Mercredi 5, jeudi 6 et vendredi 7 mars 2008 à 20h30
Tarifs 5€ - 8€ - adhésion 15€
(Si vous êtes adhérents l'entrée est libre, cependant il est toujours nécessaire de réserver)

Au Volapük, 12 bis rue Lobin à Tours

Pour diversifier nos rencontres de nouveaux publics, nous avons envisagé à partir de notre spectacle "Je suis...", une forme "facilement transportable" en dehors des lieux habituels de représentation.
Et nous n'y serons pas pour rien ! nous plonge dans une traversée déchaînée à travers les formes théâtrales, les éditos de présentation de saison, les politiques culturelles, les interviews de metteurs en scène, d'acteurs, de spectateurs...
c'est donc une pièce autour du corps, des éditos, des abonnés, du show, des spectateurs, des ouh ! , des ah ! , des...

Alexis Armengol : conception et mise en scène / François Blet et Laurent Dubernard : lumière / Frédéric Duzan : son / James Bouquard : scénographie / Stéphane Gasc et Alexandre Le Nours : interprétation / Audrey Gendre : costumes / Sylvestre Perrusson : musiques originales / Floriane Brault, Marie Lucet et Isabelle Vignaud : administration et soutien artistique

Afin de vous recevoir dans les meilleures conditions (jauge limitée),
il est indispensable de réserver au 02 47 44 02 45 ou à theatre-a-cru@wanadoo.fr.

Au plaisir de vous retrouver,
A bientôt,
L’équipe du Théâtre à cru

samedi 9 février 2008

En avant-première

J'ai eu la chance d'assister à la toute nouvelle création de Claire Touzi Dit Terzi à La Rochelle ce w-e!
Vous pourrez découvrir le spectacle-concert "Tableau de Chasse" au Théâtre de Chaillot en février, puis dans la région à l'Espace Malraux de Joué les Tours (13 mars) et à La Halle au Grains de Blois (13 juin).
Prévoyez d'ores et déjà d'assister à cette époustouflante création. C'est une claque magistrale. J'aimerais n'inscrire que des superlatifs ici, mais je manque cruellement de vocabulaire pour définir cette troublante création. Sur scène, rien n'est superflu, tout est au service de cette incroyable chanteuse (et auteur-compositeur). Ceux qui la suivent depuis 20 ans constateront que les multiples rencontres et expérimentations faites par CDT ces dernières années la conduisent aujourd'hui à une totale maturité artistique. 

X.Selva

Tournages en cours

A voir bientôt dans CulturZ :
André Chéret. Le père de Rahan vit et travaille à La Ferté-St-Cyr, à 30km au sud d'Orléans. Son futur album de Rahan est en chantier.
Ez3kiel démarre tout juste sa (longue) tournée par un concert à l'Astrolabe d'Orléans. Nous vivons avec eux les derniers instants en coulisses avant de monter sur scène.
Les 4 Meliades ont froid dans la tempête drouaise, mais rien ne les empêche de chanter pour la rubrique Musiques.
Les Voleurs de Swing ont plus de chance avec le climat... Plein soleil dans les rues de Tours pour cette même rubrique.
Pas de plein air pour Dj Rodness, scratcheur invité pour un sujet Culturz urbaines, les platines ne supportant ni la pluie, ni même le soleil, c'est indoor que ça se passe.

A suivre...

lundi 4 février 2008

Grâce à qui?

CulturZ est possible grâce aux importants soutiens financiers du CNC (Centre National de la Cinématographie) et de Centre Images (Agence Régionale du Centre pour le Cinéma et l'Audiovisuel). Bien sûr, au delà de l'indispensable financement, CulturZ va exister parce que les 3 télévisions locales ont fait le choix de diffuser ce nouveau magazine culturel. Enfin, c'est aussi une grande première de voir l'union de la majorité des producteurs régionaux pour fabriquer cette émission en commun.
Et puis, il y a toute l'équipe de réalisateurs et techniciens intermittents qui phosphorent pour imaginer un beau magazine.

Mais surtout, surtout, pensons à tous les artistes de la région Centre ou de passage qui accueillent déjà CulturZ à bras ouverts!